CNV

Méthode basée sur une communication de cœur à cœur entre tous, la CNV (Communication Non Violente) favorise la reconnexion à soi et à l’autre dans un esprit de bienveillance. Je combine cette approche à différentes pratiques psycho-corporelles selon les besoins de chacun.

CNV

Une philosophie de vie avec soi-même et les autres

Développée par le psychologue américain Marshall Rosenberg au cours des années 1960/70, la CNV se veut un antidote à la « violence ordinaire » de la communication. Parmi les écueils courants en matière de communication, en effet : les jugements, les généralisations, les interprétations, les exigences, etc, tant envers nous-même qu’envers les autres. But de la CNV ? Maintenir des rapports apaisés entre tous (y compris vis-à-vis de nous-même), dans tous les domaines de notre existence : au sein du couple, en famille, en entreprise, entre amis, au niveau communautaire, etc. Il s’agit donc en premier lieu d’un art de vivre avec soi et les autres. Dans ce cadre, la CNV nous invite à passer de l’attitude dite « Chacal » (= empreinte de violence ordinaire) à l’attitude dite « Girafe » (= bienveillante). Autres points majeurs de l’état d’esprit CNV : l’importance de l’authenticité, de l’écoute (de soi et des autres), de la prise de responsabilité de ce que l’on vit, de la clarté d’expression et du respect mutuel. Le but de la CNV n’est pas nécessairement de mettre tout le monde d’accord, mais de reconnaître l’existence des points de vue de chacun. Elle vise en premier lieu le maintien d’une bonne qualité des liens entre tous.

Champs d’application

Communication, gestion des émotions, connaissance de soi, apaisement des conflits

Une structure de langage en 4 phases : OSBD

Parallèlement à sa philosophie de vie, la CNV nous propose de communiquer en nous aidant de 4 étapes-clés, tant pour nous relier à nous-même qu’aux autres. Ce processus de langage compte parmi les apports phares de la Communication Non Violente. En voici très succintement les bases :
1. O, pour Observation de faits objectifs dans une situation donnée
2. S, pour Sentiment ressenti par rapport à ce qui est observé
3. B, pour Besoin universel satisfait ou non, en lien avec le sentiment identifié
4. D, pour Demande, à soi ou à l’autre, compte tenu de la satisfaction ou non du besoin repéré.
Une approche qui, au-delà de toute présentation théorique, gagne à être mise en application de manière régulière dans le quotidien afin d’en percevoir les bienfaits concrets.

Je propose des accompagnements individuels ainsi que des ateliers pour découvrir les bases de cette méthode. J’y adjoins généralement quelques outils complémentaires afin de répondre au plus près à chaque demande.